5 avril 1 "Les périodes de péril mettent les âmes à nu" (email d'Irène Frachon reçu le 13 mars 2020, alors que nous échangions sur l'arrivée de l'épidémie) 2 Quand on voit le nombre de médecins qui révèlent sur les réseaux sociaux des compétences exceptionnelles pour analyser avec précision l'information scientifique, y compris pour des études pour lesquelles une seule lecture suffit à se rendre compte de la faiblesse, on ose espérer que, forts de cette expertise, ils n'ont jamais prescrit ou conseillé (liste non exhaustive) : - de mammographie pour le dépistage du cancer du sein, - de PSA pour le dépistage du cancer de la prostate, - de médicaments antialzheimers, - de vaccin antigrippal pour réduire la mortalité chez les vieux, - de statines en prévention primaire, - de glitazones et apparentés pour le diabète, - la plupart des antidépresseurs IRS, qui n'ont pas démontré d'efficacité supérieure au placebo, - plus de deux neuro
Il faut bien vivre....aux dépens de ceux qui écoutent.
RépondreSupprimerbien vu
RépondreSupprimerha ha ha ha ha ha ha!!!
RépondreSupprimeraaaaahhh.... ça fait du bien!
Tenez, en me promenant sur la toile, j'ai trouvé ça :
RépondreSupprimerhttp://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/06/16/gardasil-syncope-convulsions-et-etats-quasi-epileptiques-rec.html
L'image m'a plue, le texte vous plaira sûrement, à moins que vous ne le connaissiez déjà.
Et comme toujours : merci pour vos articles!