Je vous l'avais bien dit que l'expérience que je vous racontais sur l'avis de travail défavorable du médecin conseil alors qu'il était d'accord, cachait une opération de communication et de propagande et de culpabilisation des assurés et des professionnels.
Aujourd'hui, le journal "La Tribune" est trop content de faire ses choux gras sur les soi-disant arrêts de travail de courte durée injustifiés révélés par une enquête de la sécu.
Le témoignage que j'ai rapporté sur ce patient victime de cette politique sociale sécuritaire montre à quel point les médecins conseil ont reçu ordre, avec des lettres type qu'ils ne pouvaient quasiment pas modifier, de fournir des données bidonnées pour que les responsables de sécu continuent à culpabiliser et à désinformer.
Ceux qui visionneront ce mardi 9 juin 2009 les Médicamenteurs sur France 5 à 20 h 35 ou sa rediffusion dimanche 21 juin à 21 h 30 sur la même chaîne comprendront où se trouve le vraie déficit de la sécu, et à quelle point elle a besoin de cacher ses turpitudes et ses complicités en faisant porter le poids de sa faute à ses victimes.
La sécu trahit la mission de santé publique reçue du peuple.
Honte à elle ! Honte à ses médecins qui se rendent complices de ses dérives et renient leur éthique ! Honte, honte, honte sur vous !
Aujourd'hui, le journal "La Tribune" est trop content de faire ses choux gras sur les soi-disant arrêts de travail de courte durée injustifiés révélés par une enquête de la sécu.
Le témoignage que j'ai rapporté sur ce patient victime de cette politique sociale sécuritaire montre à quel point les médecins conseil ont reçu ordre, avec des lettres type qu'ils ne pouvaient quasiment pas modifier, de fournir des données bidonnées pour que les responsables de sécu continuent à culpabiliser et à désinformer.
Ceux qui visionneront ce mardi 9 juin 2009 les Médicamenteurs sur France 5 à 20 h 35 ou sa rediffusion dimanche 21 juin à 21 h 30 sur la même chaîne comprendront où se trouve le vraie déficit de la sécu, et à quelle point elle a besoin de cacher ses turpitudes et ses complicités en faisant porter le poids de sa faute à ses victimes.
La sécu trahit la mission de santé publique reçue du peuple.
Honte à elle ! Honte à ses médecins qui se rendent complices de ses dérives et renient leur éthique ! Honte, honte, honte sur vous !
Honte à nos gouvernants responsables de tout ce merdier, honte à ceux qui se plient et jouent le jeu notemment ceux qui ont une certaine notoriété (médecins, patrons, hommes politiques, etc...).parce que les ordres viennent toujours d'en haut, ceux qui s'en mettent plein les poches, ont tous les privilèges et qui savent que le bas peuple ne peut que la fermer et que si il l'ouvre, il sera écrasé. Il faudrait que tout le monde ouvre les yeux, mais il se trouve que les non malades n'ont pas l'air de se sentir concerné et les malades ont d'autres chat à fouetter, c'est à dire se batte contre leur maladie et l'administration. On dit que l'union fait la force, mais là, je doute de l'existence d'une quelconque union chez les français à l'heure actuelle.
RépondreSupprimerles seuls en finalité qui puissent jouer un rôle dans cette prise de conscience sont les généralistes, car premiers prescripteurs visés. Mais tout le monde s'en fout des généralistes, y compris les associations de patients qui préfèrent en général s'acoquiner avec des grands pontes. Donc je pense que bientôt je vais aussi devenir un petit généraliste qui n'en a plus rien à foutre non plus à vouloir en vain ouvrir les yeux à ses patients, sans que quiconque bouge le petit doigt .....
RépondreSupprimerOui, c'est ça, on est de la merde, comme je le dis d'ailleurs dans ma présentation. Il ne nous reste qu'à en éclabousser quelques uns... Pourquoi s'en priver ?
RépondreSupprimerNon les généralistes ne sont pas de la merde. Ce sont les plus proches interlocuteurs des familles des les malades qui n'en n'ont pas vraiment conscience. Je parle de ceux qui sont haut placés, ceux qui préfèrent la paperasse et les statistiques à la médecine et qui réforment réforment sans consulter les gens de terrain qui s'ils sont plus petits n'en sont pas moins compétents.
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