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Gardasil : Bernardo Gui, le retour

Un grand professeur de chirurgie se lâche.

S'appuyant sur sa maîtrise du sujet fondée par la lecture des dossiers de presse reçus de la Sainte Firme, il croit bon d'appeler à la condamnation publique des professionnels de santé signataires d'une pétition réclamant une commission d'enquête parlementaire sur la façon dont un vaccin est promu et commercialisé.

De quoi de quoi ? Un vaccin au prix exorbitant, dont on n'a à ce jour aucune preuve de l'efficacité de ce qu'il prétend prévenir, alors qu'il existe des outils efficaces de prévention qui risquent d'être marginalisés du fait de ce vaccin, pour un problème de santé publique plutôt restreint dans les pays riches, promu à marche forcée par la publicité, les autorités sanitaires et leurs experts, leaders d'opinion de l'industrie... Ça devrait interpeller quelqu'un ?... Ça pourrait concerner la représentation nationale ?... Non, bien sûr puisque, l'assure notre ponte, Big Pharma veille sur nous.

Et d'appeler à sanctionner ces insolents.

Et pourquoi pas après tout ?

Sanctionnons largement !... et proportionnellement aux dégâts commis. Chiche.

S'il faut poursuivre ceux qui s'interrogent sur l'influence des conflits d'intérêts dans la commercialisation d'un produit de santé inefficace à ce jour, et en appellent aux instruments de la démocratie pour y voir plus clair, quelle sanction faudrait-il alors prévoir pour des professionnels de santé qui auraient, par exemple, amputé de par le monde des centaines de milliers voire des millions d'organes, sur la base de dosages biologiques inutiles et néfastes à des personnes qui ne se plaignaient de rien, leur faisant croire qu'ils leur sauvaient la vie, à l'encontre de toutes les données scientifiques et épidémiologiques ?

L'écartèlement en place publique ?...  Mmmm...
A moins que... le "berceau de Judas" peut-être ?... (vidéo à partir de 8 mn 4 s)

Je m'interroge...  Un avis d'expert, Bernardo ?







Commentaires

  1. Remettre tout à plat, repenser la médecine, faire une sorte de révolution. Et se souvenir de " primum non nocere", d'abord ne pas nuire

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  2. Faut pas dire le réel pour pas donner une mauvaise image de la médecine française, qu'est la meilleure du monde qui nous l'envie, la preuve par la Clinique Elmelik et le Service du docteur Olivier ILLE, formé à Bicêtre dans le Service du Professeur Gérard Saïd, qui voulait en 1990 imposer à Jeanine Yvart l'usage du Dicopac* au lieu du test de Schilling, quitte à ... prouver par l'absurde (la mort d'un malade) que le Dicopac lui était supérieur (voire à "syndrome NDB12PP" le Web)

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