13 avril 25 On doit garder en mémoire que l'ensemble des administrations et bureaucraties sanitaires actuelles (ARH en 1996, puis ARS en 2010, direction hospitalière depuis 2005, sécurité sociale façon AXA de van Roekeghem, etc.) n'ont été mises en place, avec les directions appropriées, que pour instaurer et organiser une gestion néolibérale du système de santé : productivité, rationnement, ouverture au privé, "responsabilisation", culpabilisation et contrôle des usagers et des soignants, etc. Attendre de ces structures, simples effectrices des consignes ultralibérales de l'oligarchie, une action efficace et dans l'intérêt général pour la gestion d'une telle pandémie relève de la pure naïveté, pour rester dans l'euphémisme. David Graeber, encore lui, le rappelle et le démontre dans "Bureaucratie" . La bureaucratie soviétique n'était qu'un amusement à coté de la néolibérale. 26 Partout où les pires drames auront pu être év...
merci de rafraichir les mémoires. certaines choses ont changées, d' autres se font de maniere plus vicieuses...parole d' une femme noire étrangèrev et musulmane( et un peu pléthorique pour ne rien gacher lol) m' enfin on a dit YES WE CAN non?
RépondreSupprimerLes femmes qui concurrencent les hommes dans des métiers que les hommes ne veulent pas partager avec elles,c'est un comble n'est ce pas? alors qu'elles sont tout juste bonnes à faire les bonnes, et encore plus en temps de guerre? Il serait temps de les réhabiliter à leur juste valeur. Pour ce qui est des étrangers qui viennent manger le pain des Français comme dirait Fernant Raynaud et leur prendre des boulots que personne ne veut faire, considérés comme dégradants, ou des boulots plus valorisants où il y a pénurie actuellement(ex. médecins, votre post du 24/11/08), n'y aurait-il pas à nouveau une montée d'intolérance qui rappelle un passé proche? La leçon ne semble pas avoir été retenue, c'est grave.
RépondreSupprimer