Risque hélas d'être complété progressivement. Les suggestions respectant strictement le cahier des charges résumé dans le titre sont les bienvenues. Aller à la deuxième partie . ACIDOSE : Dans la version de salle de garde de la fameuse pièce de Corneille, cri du cœur de Chimène, après avoir enfin pardonné au Cid le meurtre de son père, et se résolvant de passer à la casserole. Dans les éditions postérieures à la découverte du SIDA, est complété du conseil politiquement correct : « mets ta bôlikh ! », où la bôlikh serait un préservatif taillé dans du boyau de sarrazin dépecé à la bataille d’Alicante par le Cid lui-même. L’expression « Ah Cid ! Ose !… mets ta bolik ! » est improprement employé en médecine pour désigner un trouble de l’équilibre acido-basique. Selon des recherches récentes par des historiens médiévalistes sérieux, Chimène se serait écriée en réalité : « Mais… ta bolique ! ? » la bolique (ou bolica) étant en castillan préiglésien (d’avant Jules Eglise alias Julio Igle...